Ateliers de graveurs et mobilité des artisans: quelques pistes de réflexion pour le cas des écritures paléohispaniques du nord-est de la péninsule Ibérique

Autor/innen

  • Nathalie  Barrandon Université de Nantes/CRHIA

DOI:

https://doi.org/10.36707/palaeohispanica.v0i17.131

Schlagwörter:

Artisans, Écritures Paléohispaniques, Monnayage Ibérique, Lapicides, Hispanie Citérieure

Abstract

L’idée d’une mobilité des artisans et ateliers, voire de leur itinérance, dans le nord-est de la Péninsule ibérique au dernier siècle de la République romaine ne repose pas, ou pas encore, sur des cas assurés. Toutefois, elle demeure une base de réflexion intéressante pour mieux cerner le travail des artisans qui ont une technicité indéniable, notamment dans le domaine des écritures paléohispaniques, puisque la répartition des inscriptions est géographiquement étendue et la production locale faible. En tenant compte des études sur les pratiques observées dans le sud de l’Ibérie, en Grèce et en l’Italie, j’étudie le rôle du contexte social des productions artisanales dans les tranferts culturels, puis je traite de la mobilité des artisans en envisageant pour cas d’étude les productions monétaires et enfin je pose la question des ateliers de lapicides en Citérieure.

Autor/innen-Biografie

  • Nathalie  Barrandon, Université de Nantes/CRHIA

     

     

     

Veröffentlicht

2019-06-24

Ausgabe

Rubrik

Ámbito Ibérico y Meridional

Zitationsvorschlag

Ateliers de graveurs et mobilité des artisans: quelques pistes de réflexion pour le cas des écritures paléohispaniques du nord-est de la péninsule Ibérique. (2019). Palaeohispanica. Revista Sobre Lenguas Y Culturas De La Hispania Antigua, 17, 23-36. https://doi.org/10.36707/palaeohispanica.v0i17.131